Le borne d’écho
À Bucarest, les toits de cuivre oxydés luisaient d’un éclat terne marqué par les premières pluies d’octobre. Dans un maison excentré, à l’abri de quelques regards, une femme nommée Daciana avait transformé une finances particulière en sanctuaire vibratoire. Spécialiste en radiesthésie durant l’adolescence, elle manipulait son pendule avec une minutie qui avait de nombreuses années fasciné ses précieuses hôtes. Mais dans cette période où le silence prenait vivement de sa place, elle décida d’ouvrir une ligne confidentielle de voyance par téléphone fiable, naturel juste à celui qui connaissaient le agréable numéro transmis par bouche-à-oreille. Très rapidement, phil voyance devint la voix associée à cette ligne, un homonyme sélectionné de la même façon qu'un masque, une extrémité inspiré entre elle et ce qui appelaient. Dès les premières séances, les modulations du pendule se firent plus denses. Les voyances n’étaient pas anodins. 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